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Société

Le député Philippe Latombe, une nouvelle fois au soutien des policiers

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Les policiers du commissariat de la Roche-su-Yon ont manifesté contre les déclarations de Christophe Castaner. Crédit : Alliance police nationale vendée

Dans un communiqué de presse daté du mercredi 17 juin, le député de la 1ère circonscription de Vendée, Philippe Latombe, a réitéré son soutien aux forces de l’ordre après les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner. 

Hier, mercredi 17 juin, 65 policiers du commissariat de la Roche-sur-Yon ont jeté leurs brassards et paires menottes au sol pour protester contre les déclarations de Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur. Un geste symbolique que le député de la 1ère circonscription de Vendée, Philippe Latombe, n’a pas hésité à défendre dans un communiqué de presse. Ce dernier a indiqué que c’est « un grand sujet d’inquiétude : j’ai une profonde admiration pour les forces de l’ordre de Vendée et pour leurs représentants, avec qui j’échange fréquemment. Ils ont le sens de l’engagement et du service rendu à la société, ainsi qu’une haute conception de leur mission. Ils exercent dans des conditions de plus en plus difficiles« . Pour ensuite affirmer « Ceux qui stigmatisent les forces de l’ordre se trompent de combat et œuvrent à l’instauration du chaos à leurs propres dépens. Il ne peut y avoir d’ordre républicain sans une police soutenue, respectée et considérée« . 

Le député vendéen n’est pas le seul à s’être exprimé sur cette action. Le secrétaire départemental d’Alliance police nationale vendée, Grégory Brelay, a indiqué que la fonction se « sent lâchée par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner » suite à sa remise en cause de la technique, dite, « d’étranglement ». Pour Grégory Brelay, sans cette technique, « les policiers ne peuvent pas assurer leur propre sécurité physique et celle des Français. Aucune arrivée d’effectif n’est prévue en septembre, alors que la situation est catastrophique, suite aux attentats, au mouvement des gilets jaunes et à la Covid«